Le mercredi 16 octobre 2024, le Premier ministre, Dr Garry Conille, a démontré qu’il avait des nerfs d’acier en présidant son 6e Conseil de Gouvernement à la Résidence Officielle. Rien ne semble l’ébranler, pas même la crise migratoire explosive ni les débats enflammés qui animent les discussions politiques. Si quelqu’un pensait que ce Conseil allait être une simple formalité, il aurait dû revoir ses prévisions météo.
La réunion, marquée par une résolution musclée condamnant les déportations massives d'Haïtiens par la République Dominicaine, a mis en lumière la fermeté du Premier ministre. "Pas question de tolérer la xénophobie et les violations des droits humains", a-t-il martelé, les sourcils froncés comme s’il redessinait mentalement les frontières de la dignité humaine. Le Conseil n’a pas fait dans la dentelle : une condamnation unanime des pratiques dominicaines, comme une équipe de football marquant un but collectif contre les expulsions.
Mais ce n’était que la première mi-temps. Garry Conille, sans doute dopé par du café serré ou un quelconque élixir de sérénité politique, a mené la danse lorsqu’il s’est agi d’aborder la réinsertion des rapatriés. Une réunion qui ressemblait à une partie d’échecs géante, où chaque coup était calculé. Le Conseil s’est penché sur les mesures à prendre pour que les citoyens rapatriés soient accueillis dignement. Conille, tel un chef d’orchestre, a dirigé le débat, s’assurant que chaque ministre joue sa partition sans fausse note.
Et comme si ce n’était pas assez, une rumeur de remaniement ministériel a été balayée avec l’élégance d’un coup de vent tropical. « Changement de ministre ? Pas sans moi ! », semble dire le Premier ministre en défendant la Constitution et l’accord du 3 avril 2024, comme un gardien défend sa cage. Autant dire que le message est passé : Garry Conille tient la barre ferme et rien ni personne ne pourra le faire dévier de sa route. Le Conseil l’a soutenu avec enthousiasme, comme si c’était la finale de la Coupe du Monde des conseils gouvernementaux.
Ce 6e Conseil n’était pas un conseil comme les autres : c’était une démonstration de force et de fermeté, où le Premier ministre a prouvé qu'il n'avait peur de personne, ni de la crise migratoire, ni des bruits de remaniement. On attend avec impatience le 7e Conseil. S’il y en a un qui semble en pleine forme dans cette tempête, c’est bien Garry Conille.
La Rédaction de StandardMania
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