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Dans une manifestation bouillonnante devant le Parquet du Cap-Haïtien, les policiers du SDPJ Nord exigent le départ du Doyen JOSEPH Alfred Manigat, accusé d'interférence dans une affaire criminelle. La colère gronde alors que les forces de l'ordre réclament justice pour leur collègue tombé au front. Cap-Haitien, le 15 mai 2024.- Dans une manifestation sans précédent, les policiers du Service Départemental de la Police Judiciaire (SDPJ) ont pris d'assaut le Parquet du Cap-Haïtien, réclamant avec véhémence le renvoi du Doyen JOSEPH Alfred Manigat. Tôt le matin du lundi 13 mai 2024, devant le bâtiment symbolique de la justice haïtienne, les protestataires ont exprimé leur colère et leur frustration face à ce qu'ils considèrent comme une injustice flagrante. Au cœur de leur contestation se trouve le Doyen Manigat, accusé d'avoir émis un ordre au SDPJ Nord pour restituer tous les équipements confisqués dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat brutal du policie

La rue Camille Léon est le théâtre d'une tragédie alors que Barbarah Fécu, une policière dévouée de la 32e promotion de la Police Nationale d'Haïti, est abattue par des criminels armés. Son courage face à l'adversité et son sacrifice mettent en lumière les défis persistants auxquels sont confrontés les membres des forces de l'ordre dans leur lutte contre la criminalité. Port-au-Prince, le 8 mai 2024.-  Une tragédie a frappé la rue Camille Léon aujourd'hui, alors que Barbarah Fécu, une courageuse policière de la 32e promotion de la Police Nationale d'Haïti, a été abattue par des individus armés. L'incident, survenu ce matin alors qu'elle accompagnait son enfant à l'école, a secoué la nation. Selon les informations fournies par le coordonnateur du Syndicat National des Policiers Haïtiens (SYNAPOHA), Lionel Lazare, Barbarah Fécu a été attaquée sans merci alors qu'elle résistait courageusement à ses assaillants. Malgré ses efforts, elle a succombé à

Vue partielle de l'aéroport international Toussaint Louverture  La réouverture tant attendue de l’aéroport international Toussaint Louverture à Port-au-Prince, initialement prévue pour le 2 mai, est à nouveau repoussée de deux semaines supplémentaires, suite à des tirs aux abords de l'aéroport. Cette décision met en lumière les défis sécuritaires persistants et les obstacles administratifs qui entravent la reprise des opérations aériennes normales dans la capitale haïtienne. Port-au-Prince, le 6 mai 2024.- La capitale haïtienne, Port-au-Prince, attendait avec impatience la réouverture de son principal aéroport international Toussaint Louverture, fermé depuis début mars en raison de l'escalade de l'insécurité provoquée par les activités des gangs armés. Cependant, les espoirs ont été une fois de plus douchés alors que des tirs ont été entendus aux abords de l'aéroport depuis la soirée du 1er mai jusqu'au matin du 4 mai 2024, obligeant les autorités à reporter tou

Prison civile de Port-de-Paix Dans une évasion spectaculaire à la prison civile de Port-de-Paix, les autorités révèlent un complot bien ficelé ourdi par les prisonniers eux-mêmes. Des détails captivants sur une tentative d'évasion qui a ébranlé la sécurité de la région. Port-de-Paix, le 6 mai 2024.-  Un jour après l'évasion qui a secoué la prison civile de Port-de-Paix, les autorités policières ont levé le voile sur les événements survenus au sein de l'établissement pénitentiaire. Lors d'une conférence de presse poignante tenue le samedi 4 mai 2024, les représentants des forces de l'ordre ont révélé que 12 détenus, sur les 37 incarcérés dans la cellule concernée, se sont échappés avec audace. De ce nombre, 4 fugitifs ont été neutralisés par les forces de sécurité, tandis que 8 autres demeuraient en fuite au moment même où la conférence de presse se déroulait, laissant dans leur sillage un air de mystère et d'inquiétude. Le porte-parole de la police du Nord-Ouest

Port-au-Prince, le 28 avril 2024.- Jeudi dernier, un sergent et un caporal des Forces Armées d'Haïti (FADH) ont été victimes de blessures par balles lors d'une embuscade survenue à proximité de l'hôpital général. L'information a été confirmée par le haut état-major de l'armée. Heureusement, les deux militaires reçoivent actuellement les soins nécessaires et leur état est jugé stable. L'incident a également impliqué l'attaque par des bandits armés d'un véhicule militaire, lequel a été criblé de balles.  Cette nouvelle souligne une fois de plus les défis sécuritaires auxquels est confronté le pays et met en évidence le courage et le dévouement des membres des forces armées qui risquent leur vie pour assurer la sécurité. La Rédaction de StandardMania  E-mail : standardmaniah@gmail.com  Téléphone : +50932745054

Photo des locaux du journal Le Nouvelliste   Des individus non identifiés ont saccagé les locaux historiques du journal Le Nouvelliste, laissant derrière eux un paysage de destruction. Cette attaque contre l'un des piliers de la presse haïtienne soulève des préoccupations majeures quant à la sécurité des médias et à la protection de la liberté d'expression dans le pays. Port-au-Prince, le 27 avril 2024.- La Direction éditoriale du journal Le Nouvelliste a dévoilé au public une nouvelle troublante : des individus non identifiés ont perpétré une série d'attaques sournoises contre les locaux du journal, sise à la rue du Centre, à Port-au-Prince. Cette intrusion prolongée a laissé en son sillage un tableau de dévastation, avec des équipements vandalisés, du mobilier dérobé, et des matières premières essentielles à l'impression du journal pillées. Face à cette agression inqualifiable aux ramifications désastreuses, la Direction de Le Nouvelliste n'a d'autre choix que

Logo de Livres en Folie Les passionnés de littérature en Haïti devront patienter un peu plus longtemps pour célébrer leur amour des livres. Le Nouvelliste et l'UNIBANK ont annoncé hier le report de la 30ème édition de "Livres en folie" en raison de l'escalade de la violence à Port-au-Prince. Cette décision, bien que nécessaire pour assurer la sécurité des participants, laisse un goût amer dans la bouche des fervents lecteurs et écrivains haïtiens. Port-au-Prince, le 27 avril 2024.-  Par StandardMania   Une nouvelle décevante pour les amateurs de littérature en Haïti : la 30ème édition de "Livres en folie" ne se tiendra pas comme prévu, ont annoncé Le Nouvelliste et l'UNIBANK, les organisateurs de l'événement emblématique. Cette foire littéraire, qui a charmé les lecteurs et écrivains depuis sa création il y a trente ans, est un rendez-vous incontournable de la scène culturelle haïtienne. Cependant, face à la montée de la violence à Port-au-Prince ces

Cap-Haitien, le 5 avril 2024.- Ce vendredi 5 avril 2024, les autorités haïtiennes ont lancé une opération conjointe sans précédent au port du Cap Haïtien, menée par la Police Nationale d'Haïti (PNH) en collaboration avec l'Administration des Douanes. L'objectif de cette opération était de renforcer la sécurité portuaire et de lutter contre le trafic d'armes dans la région. Selon un bilan partiel fourni par les autorités, cette saisie spectaculaire a permis de mettre la main sur un arsenal impressionnant. Pas moins de 12 fusils d'assaut de divers modèles, accompagnés de 14 pistolets, ont été découverts lors de l'opération. De plus, près d'un millier de cartouches de différents calibres ont également été interceptées. Cette opération conjointe entre la PNH et l'Administration des Douanes témoigne de l'engagement des autorités haïtiennes à combattre le trafic illicite d'armes à feu, qui constitue une menace sérieuse pour la sécurité nationale et la

Port-au-Prince, le 1er mars 2024.- Le dernier jour de février a laissé un sombre bilan pour la Police nationale d’Haïti (PNH), marqué par une attaque coordonnée des gangs dans la région métropolitaine. Alors que le Premier Ministre Ariel Henry était en déplacement hors du pays, deux sous-commissariats ont été la cible de cette violente offensive, entraînant la perte de quatre vies policières. Selon Lionel Lazarre, coordinateur du Syndicat National de Policiers Haïtiens (SYNAPOHA), les bandits ont lancé un assaut dévastateur contre le Sous-commissariat de Bon-Repos. Quatre policiers, dont deux femmes, ont perdu la vie en défendant l'établissement. Un des corps a même été emporté par les criminels, soulignant l'intensité de l'affrontement. Les victimes, identifiées comme Marion Junior de la 14e promotion, Pierre Luciana de la 26e promotion, Jean Baptiste Guilliamson de la 31e promotion, et Pautrace Resula de la 32e promotion, sont des héros qui ont sacrifié leur vie pour prot

  Cap-Haitien, 25 février 2024.-  La police a annoncé, hier, l'arrestation de Benoise Wisnet, également connu sous le nom de "Bwajou", à Barrière-Bouteille, Cap-Haitien, intervenant dans le cadre de l'enquête sur le meurtre du policier Rémy Synce. Benoise Wisnet, âgé de 40 ans, est soupçonné d'être l'un des criminels impliqués dans l'attaque tragique qui a coûté la vie à l'enquêteur de la SDPJ/Nord, Rémy Synce, 41 ans. Le policier a été assassiné par balle l'après-midi du lundi 19 février dernier à Petite-Anse. Cette arrestation fait suite à des efforts soutenus des forces de l'ordre pour résoudre cette affaire délicate. Wisnet est actuellement en détention et devra répondre de son implication présumée dans le meurtre de Rémy Synce. Dans le cadre de cette enquête, la police a déjà appréhendé une quinzaine de personnes, parmi lesquelles Decimus Jenny Love, compagne d'Émile Alcima, un des bandits tué lors d'un échange de tirs avec le poli

  Port-au-Prince, le 23 février 2024.- Le Syndicat National des Policiers Haïtiens (SYNAPOHA) vient de faire une annonce choquante sur le meurtre brutal du policier Gerto Cadet. Cadet, qui faisait partie de la 23ème promotion de l'institution policière, a été assassiné chez lui à Mahotière 85, dans la Commune de Carrefour, dans la soirée du Jeudi 22 Février 2024. Selon le Coordonnateur Général du SYNAPOHA, Lionel Lazarre, des individus non identifiés ont violemment attaqué Gerto Cadet chez lui. Après l'agression, les criminels ont lynché le policier avant de mettre le feu à son corps. Un acte d'une cruauté choquante qui suscite l'indignation dans toute la communauté policière. Le compte X du SYNAPOHA a partagé cette tragique nouvelle, soulignant que Gerto Cadet était membre de l'Unité Départementale de Maintien d'Ordre (UDMO/Ouest). Ce drame s'ajoute à une série d'attaques contre les forces de l'ordre en Haïti au cours du mois de Février 2024. Le Syn

Cap-Haïtien, le 19 février 2024.-  Une tragédie s'est produite à Cap-Haïtien cet après-midi alors que le policier Rémy Cynce, du Service Départemental de la Police Judiciaire (SDPJ) dans le Nord, a été assassiné dans la section communale de Petite-Anse. Rémy Cynce, Agent 3 de la 22e promotion, a été attaqué par des individus armés alors qu'il s'apprêtait à rentrer chez lui. Des témoins ont rapporté que les assaillants, circulant à moto, ont perpétré leur crime avant de s'échapper rapidement de la scène. L'horrible incident s'est déroulé en présence de la femme et de l'enfant du policier, suscitant une vive émotion au sein de la communauté. Le Syndicat National des Policiers Haïtiens (SYNAPOHA) a confirmé la perte de l'Agent 3, soulignant la brutalité de l'attaque, et indique que le policier revenait de la banque. La police a réagi rapidement, arrivant sur les lieux peu de temps après l'agression. Une enquête approfondie est actuellement en cours

  Flash : Événement dramatique lors d'une manifestation anti-gouvernementale à Port-au-Prince : L'ancien Sénateur Moïse Jean-Charles échappe de justesse à la mort Port-au-Prince, le 6 février 2024.- Dans une journée déjà tendue par des manifestations anti-gouvernementales, l'ancien Sénateur Moïse Jean-Charles a miraculeusement échappé à la mort alors qu'un groupe d'individus armés a ouvert le feu sur la foule, visant spécifiquement l'ex-Sénateur. Moïse Jean-Charles, qui dirigeait la manifestation, se trouvait à bord d'une motocyclette lorsque l'incident s'est produit. Le chauffeur a été touché par deux cartouches, mettant la vie de l'ancien Sénateur en danger. C'est grâce à la vigilance de quelques manifestants courageux que Moïse Jean-Charles a pu échapper à l'attaque, alors qu'ils l'ont conduit en toute hâte dans une banlieue de la capitale pour assurer sa sécurité. Actuellement en lieu sûr, Moïse Jean-Charles cherche à regagner

Port-au-Prince, le lundi 5 février 2024.-  Les rues d'Haïti, y compris sa capitale, sont le théâtre de manifestations de plus en plus fréquentes, réclamant le départ du premier ministre Ariel Henry et de son gouvernement. Hier, dimanche, une manifestation dirigée par l'ancien sénateur Moïse Jean-Charles en direction de la résidence d'Ariel Henry a été dispersée à coup de gaz lacrymogènes, illustrant l'intensification des tensions dans le pays. Les regards sont également tournés vers la possible insurrection menée par Guy Philippe, ancien commissaire de police, dont la date butoir est fixée au 7 février. Cette échéance suscite l'appréhension et l'interrogation parmi les observateurs de la scène politique haïtienne. Pendant ce temps, les agents de la Brigade de Surveillance des Aires Protégées (BSAP) dans plusieurs départements adressent des messages alarmants concernant un éventuel désarmement, ajoutant à l'incertitude et à la nervosité ambiante. Dans la vill

Ce lundi 29 janvier 2024, une marée humaine a envahi les rues du Cap-Haïtien sous la direction de Moïse Jean-Charles, leader de Pitit Desalin. Les manifestants ont exprimé leur mécontentement envers le gouvernement actuel en scandant des slogans hostiles, avec "Aba Ariel Henry" en tête de liste. La manifestation, qui a paralysé le commerce, les banques et les écoles, converge vers Vertières pour faire entendre leurs revendications. Restez à l'écoute de StandardMania pour plus de détails sur cette mobilisation sans précédent.

Cap-Haïtien, le 29 janvier 2024.- Aujourd'hui, la ville de Cap-Haïtien s'éveille dans une atmosphère empreinte de tristesse, marquée par une grève massive déclenchée par le Parti politique "Pitit Desalin". Les rues sont parsemées de barricades, tandis que des pneus enflammés créent des scènes de tension dans des quartiers clés tels que Vertières et Madeline. Cette mobilisation a eu un impact significatif sur le tissu social et économique de la ville. Le commerce local, habituellement animé, se retrouve déserté, les portes des banques sont closes, et les salles de classe demeurent vides, signe de la paralysie engendrée par cette action de protestation. StandardMania continuera à suivre de près cette situation en évolution et fournira des mises à jour régulières sur l'évolution de la grève et les éventuelles négociations entre les parties impliquées. La Rédaction de StandardMania

  Cap-Haïtien, le 28 janvier 2024.-  Ce dimanche soir, la ville de Cap-Haïtien est le théâtre d'une montée de tension préoccupante, suscitant un appel à la prudence dans toute la région. Des scènes de tension se déroulent notamment devant l'École Professionnelle du Cap-Haïtien à Cité, ainsi que dans les zones "Sans Raison" et aux abords de Carrefour Kitéo à l'entrée Sud de la ville. La situation s'aggrave également du côté de Madeline, affectant l'entrée Est de la ville. La route nationale numéro 6 est actuellement coupée, barrée par des camions et des pneus enflammés, créant une atmosphère tendue. Cette escalade de tensions semble être le prélude à une journée de grève et de manifestations prévue pour lundi, initiée par le leader de "Pitit Desalin", Moïse Jean-Charles. Les habitants sont appelés à la prudence et à éviter les zones sensibles en cette période de troubles. Nos correspondants sur place demeurent engagés à vous tenir informés en temp

Cité Soleil, le 13 novembre 2023.-  Hier soir, aux environs de 21 heures, la communauté de Belekou a été secouée par la nouvelle du décès d'Andris Isca, le chef éminent de la fédération des gangs "G9 en Famille et Alliés". Selon les rapports, Isca s'est ôté la vie d'une balle après avoir ressenti un malaise. Andris Isca, qui occupait le poste de chef numéro 1 de Belekou à Cité Soleil, avait été au cœur de nombreuses controverses en raison de son implication dans le monde criminel. Membre fondateur de la redoutable fédération G9, il a laissé derrière lui un héritage trouble. La nouvelle a initialement été accueillie avec des doutes, certains pensant qu'il s'agissait d'une rumeur infondée. Cependant, ces incertitudes ont été dissipées ce matin avec la confirmation de la tragique disparition d'Isca. Ce qui rend cette histoire encore plus complexe, c'est le passé de Andris Isca en tant que brillant professeur de mathématiques dans plusieurs écoles

l'Estère, le 08 novembre 2923.- La ville de l'Estère dans le département de L'Artibonite, en Haïti, est actuellement le théâtre de tensions grandissantes, alors que le gang notoirement connu sous le nom de « Kokorat San Ras » a proféré des menaces alarmantes de destruction imminente. Dans une vidéo diffusée largement, le chef présumé du gang, Bendji, a mis en garde les habitants de la ville, les enjoignant à quitter la zone s'ils souhaitent éviter la fureur imminente de la « tempête » que le gang promet de déchaîner. Les propos de Bendji ont semé la panique parmi les habitants de l'Estère, qui ont immédiatement lancé un cri de détresse en direction des forces de l'ordre. Ils implorent la police nationale d'Haïti (PNH) d'intervenir d'urgence pour empêcher les menaces de carnage proférées par le gang de devenir une réalité. La situation est d'autant plus préoccupante que cette menace n'est pas la première du genre à peser sur la ville de l'

Pignon, le 5 novembre 2023.-  Le mouvement de justice populaire "Bwa Kale" a atteint la paisible ville de Pignon dans le Nord ce dimanche, provoquant un événement tragique. Dans une opération menée par la police locale, trois suspects ont été interpellés, mais la situation a rapidement dégénéré, mettant en évidence les tensions qui couvaient depuis un certain temps. Lorsque les suspects ont été conduits au commissariat de Pignon, la police a été confrontée à la colère grandissante de la population locale. Les habitants, exaspérés par une série d'incidents criminels dans la région, ont exprimé leur frustration en voulant se faire justice eux-mêmes. Le commissariat de police était rapidement assiégé par des membres en colère de la population, créant une situation explosive. Face à une foule de plus en plus agitée, les policiers se sont retrouvés dans une situation difficile. Malheureusement, la tension a atteint un point de non-retour, et les membres de la population se son